En 1928, lorsque André Breton, décrit sa rencontre avec Nadja, il décide de s’affranchir des codes littéraires et notamment d’éliminer de son texte toute description. En contrepartie le livre comporte de nombreuses photos et dessins. Il n’y manquait que la musique…
A travers ses compositions, Guillaume Grenard a conçu des illustrations sonores sur le récit d’André Breton en choisissant pour le fondateur du surréalisme, le plus surréaliste des orchestres : six clarinettes basses ; et derrière ces bâtons d’ébène, six fortes personnalités musicales.